Image Alt

UEDC - Union d'Experts Dommages Corporels

Accident-marche-arrière-voiture

Victime d’un accident sur la marche arrière d’un véhicule roulant: contre-expertise

Bonjour,

Nous vous parlons aujourd’hui du dossier d’une jeune fille adolescente, dossier porté par sa mère, victime d’un accident suite à la marche arrière d’une voiture.

Percutée par le véhicule, elle est victime de plusieurs fractures importantes

En effet, elle a été percutée par une personne ne l’ayant pas vu lors de sa manœuvre de stationnement. La petite, était à hauteur du sol, sur un jouet d’enfant type trotteuse. Victime de plusieurs fractures graves, elle a été transportée à l’hôpital, où elle a été opérée. Les parents de la petite ont déclaré l’accident auprès de leur assureur, qui s’est chargé de les aider dans la gestion de ce sinistre en dommages corporels.

Par la suite, le processus d’indemnisation se met en place de façon classique: Questionnaire de santé, versement d’une provision, expertise avec un médecin expert, rapport d’expertise, et proposition d’indemnisation. Le problème, sur ce dossier, est que la petite fille, en raison de son âge, connait une importante poussée de croissance. Cela a des conséquences négatives sur sa convalescence, et complique grandement sa consolidation. Une nouvelle opération est donc nécessaire. Or, le médecin expert missionné par l’assureur a décidé de consolider la jeune fille avant cette seconde opération, jugeant que cette intervention n’est pas imputable à l’accident initial. L’assureur propose donc un offre d’indemnisation en réparation du dommage corporel de l’ordre de 11 000€, ce qui parait assez faible aux vues des complications vécues par la jeune fille.

Prise de contact avec le cabinet, étude du dossier en dommages corporels, contre-expertise

La mère de la jeune fille prend contact avec nous à ce moment. nous étudions donc son dossier, qui nous semble être très largement sous évalué. Nous lui faisons faire des consultations de médecins, notamment une consultation en rhumatologique avec un médecin expert. Ce dernier est catégorique: La seconde opération et ses conséquences sont 100% imputables à l’accident. Nous décidons donc, avec l’accord de la maman, de refuser l’offre d’indemnisation présentée par l’assureur, et nous demandons la mise en place d’une contre-expertise amiable contradictoire afin de refaire évaluer les préjudices en dommages corporels subis par la jeune fille, ainsi que l’imputabilité de la seconde opération. Lors de cette expertise, nous nous faisons accompagnés de notre médecin conseil rhumatologue.

Imputabilité confirmée, augmentation significative de l’offre d’indemnisation

Au final, cette contre-expertise est un succès. Nous obtenons gain de cause sur l’imputabilité de la seconde opération, et de ses conséquences. L’ensemble des postes de préjudices sont réévalués à la hausse: L’atteinte à l’intégrité physique et psychique (AIPP) est triplé, les souffrances endurées se voient doublées, le préjudice esthétique est majoré. Les périodes de gênes temporaires sont mieux évaluées, les besoins en assistance tierce personne aussi…Bref, tous les postes de préjudices initialement identifiés sont revus à la hausse.

L’offre d’indemnisation définitive négociée sera près de 7 fois supérieure à celle initialement proposée, avec une offre définitive, acceptée par notre cliente, de l’ordre de 75 000€.

 

Aussi, nous vous conseillons de toujours faire vérifier par un spécialiste une offre d’indemnisation avant de l’accepter. Si cette dernière est jugée bonne par nos services, vous n’aurez plus qu’à l’accepter, sans que cela ne vous coûte un centime d’euros. Si, par contre, comme cette famille, nous estimons votre offre sous-évaluée, vous pourrez nous la confier, afin que nous puissions l’optimiser. N’hésitez plus, contactez-nous.

 

Post a Comment